Cette photo, qui montre un âne tirer l’eau, montre clairement la profondeur du puits et illustre le problème du manque d’eau et surtout d’eau potable dans le village de Missirah Tabadiang. Le puits fait en effet plus de 35m. Pour la consommation personnelle, on puise directement l’eau, mais l’âne est nécessaire pour puiser l’eau destinée à abreuver le bétail.
C’est un citoyen qui est venu chez le chef de village pour se plaindre des conséquences de pratiques culturelles sur l’environnement. Ces pratiques, la coupe abusive du bois, les feux de brousse, font que l’eau est rare aujourd’hui : cela joue sur le rendement des cultures. Il ne pleut plus beaucoup. Il faut que le doyen du village prenne ses dispositions,