Je suis Amara CAMARA citoyen de Mandou Je suis né et j’ai grandi dans les travaux de couverture de la case qui est une tradition pour nous. La couverture commence par la charpente dont la recherche des matériaux locaux cause problème de nos jours à cause de changement climatique et les actions anthropiques (utilisation de l’herbicide, le nomadisme culturel, le
Du 17 au 20 Juillet 2023, Dr Marie Rodet (directrice de projet), Max Musau (CEO de Jiwe Studios) et Aline Desdevises (coordinatrice de projets) ont assisté àla conférence Games for Change 2023, à New York, et y ont présenté le projet Djonya Kêlè Ja Toulon.Cette conférence se concentrait sur l’impact positif que les jeux vidéo peuvent avoir sur le monde
Nous sommes avec les laboureurs. L’hivernage de cette année est en retard. La pluie avait commencé et s’est arrêtée brusquement puis a repris encore. Nos premiers semis sont tous fanés, on est obligé de semer une seconde fois. Avec la pluie rien n’est garanti, il pleut normalement pour le moment et on espère que les eaux de pluie n’aient pas
Les panneaux solaires permettent de se passer du bois de chauffe. Cela permet d’éclairer la case, la cour, et aussi faire réviser les enfants. Ils ont remplacé les lampes à pétrole. La famille a acheté le panneau solaire, pour éclairer les maisons, au marché de Sanankoroni. Les petits panneaux sont accessibles. Les femmes du village ont trouvé une solution pour
Khadija et Mawa témoignent sur leur condition de travail dans les champs : « Il n’y a rien, la pauvreté est là. On ne peut pas survivre sans les cultures maraichères, mais à cause du manque d’eau, c’est très difficile. Si tu fais la culture maraichère, grâce au marché, tu peux ensuite aider ta famille. Quand j’ai creusé le puits, j’ai pu
Si la saison n’est pas bonne, les femmes de Monzona ont recours à des activités comme : faire des balais, éponges, brosses à dents traditionnelle et fruits de baobab pour vendre et subvenir à leurs besoins. L’éponge est obtenue à partir des branches de rônier que les femmes partent chercher en brousse. Ces activités permettent de compenser le manque de rentabilité
Fatoumata Camara conte : Ntoly kélén né Kablan va massakè lémé Wélé ni massakègbèrè léna diana Wéléna a démousso dina a dougnô kè o ma Massakè na adémousso wélé lala djélimousso démbaty tè, kata di adougnèkè massakè oma Djélimousso wélé tani kognô koura malôdia Ana massakè ako yen mekèla, akafô dini gnè, ko ni akafô, ko alélé kognô koura lé,
Nous sommes les descendants de Fakoly, nos parents ont quitté vers Bougouni pour ici. Il y deux clans Sissoko : les Sissoko koromagan et les Sissoko Fakoly. Nous, nous sommes des forgerons. Nous sommes forgerons depuis nos ancêtres et nous fabriquons des houes, des couteaux, etc… D’autres forgerons fabriquent des bijoux, d’autres des pirogues, d’autres font des tresses. Le bois de
La famille de Monsieur Djomani CAMARA de Mandou est victime de tarissement de cours d’eau qui arrosait leur bas fond cultivable, suite à la destruction de la forêt à la source de Farako (cours d’eau) par le chef de famille. Avec un rendement très faible la saison dernière, le chef de famille n’arrive plus à couvrir la ration alimentaire de