La femme que l’on voit sur la vidéo est un exemple de l’importance de la forêt pour la population, et de la relation entre les habitant.e.s de Wassadou et la nature. Ici, elle trie les feuilles de palmiers, dont elle va ensuite fabriquer des balais. Elle les fabrique pour les vendre, et obtenir un complément de revenus. Cependant, cette
Ce reportage traduit le quotidien des éleveurs de Wassadou. Ils rencontrent les mêmes difficultés d’accès à l’eau que les femmes de certains quartiers du petit village situés sur la route nationale dans la région de Tambacounda. Par : Adama Dansokho Ménages et difficultés d’accès à l’eau potable Wassadou, Sénégal, Février 2022 Les femmes rencontrent d’énormes difficultés pour accéder à l’eau
C’est en fin octobre qu’on déterre l’arachide en regroupant les plantes déterrées en petits tas tout en les laissant séché sous le soleil. Au mois de novembre ces tas sont petits à petits regroupés en un très grand tas. Après ce travail on procède au battage du tas avec des battons puis à une séparation des graines et du foins.
Une rizière qui se remplit d’eau durant la saison des pluies empêchant la culture du riz. Elle est resté deux ans sans être exploiter parce que l’eau y reste entraînant le pourrissement des plantes à Wassadou.
« Pour nous, c’est ça qui peut nous aider, on va à Tamba pour vendre quelques marchandises et au retour on achète quelques produits maraîchers pour venir vendre ici, surtout pendant le ramadan. Cette année on a eu de la chance, ils n’ont pas fermé le marché, sinon c’était la galère. C’est cette activité qui nous permet d’aider nos maris