Cette photo, qui montre un âne tirer l’eau, montre clairement la profondeur du puits et illustre le problème du manque d’eau et surtout d’eau potable dans le village de Missirah Tabadiang. Le puits fait en effet plus de 35m. Pour la consommation personnelle, on puise directement l’eau, mais l’âne est nécessaire pour puiser l’eau destinée à abreuver le bétail.
C’est un citoyen qui est venu chez le chef de village pour se plaindre des conséquences de pratiques culturelles sur l’environnement. Ces pratiques, la coupe abusive du bois, les feux de brousse, font que l’eau est rare aujourd’hui : cela joue sur le rendement des cultures. Il ne pleut plus beaucoup. Il faut que le doyen du village prenne ses dispositions,
Dans la continuité des enquêtes quantitatives menées par le projet Watigueleya Kêlè, une formation à la recherche qualitative a été organisée à Conakry (Guinée) entre le 2 et 6 mai 2023. Une quinzaine de participant.e.s ont été rassemblé.e.s dans les locaux du CIRD, dont quatre enquêteur.rice.s pour le Mali, deux pour le Sénégal et quatre pour la Guinée, la directrice
Dans la culture bedik, si il y a iniation le mercredi, les filles vont aller chercher de l’eau. Avant ça se faisait sur la montagne, il y avait des points d’eau, mais maintenant avec le changement climatique, c’est difficile de trouver de l’eau à Ethiouar, elles sont obligées de descendre en bas pour chercher de l’eau, et venir faire les
Ceci est un jardin maraicher placé dans les rivières. Il pourrait être utile pendant des changements climatiques pour cultiver par exemple les tomates, les patates et les oignons. Pendant l’hivernage le travail est impossible. Ces jardins sont clôturés par des épines et il faut les surveiller depuis très tôt le matin pour empêcher les animaux de les gâcher et les
Le travail est la coupe du rônier est dû aux difficultés que rencontrent les villegeois. Une fois qu’un rônier est coupé, il ne repousse plus, alors que les fruits de ces arbres contribuent à lutter contre la faim dans le pays. Si vous le coupez quand vous rencontrez des difficultés, vous serez obligés de vous déplacer pour en chercher ailleurs
Mon nom c’est Tenenba Diarra, je suis malienne, de la région de Banzana. Au moment de l’hivernage, on amène ces déchets dans nos champs et on les dispose en tas. Quand la pluie les a arrosé à deux reprises, on disperse les tas dans tout le champ à l’aide de pelles et on cultive le champ. Pour préparer nos maraîchages,
Voici comment le village de Monzona (Mali) lutte contre l’érosion des champs de culture. Comme vous voyez sur les photos et la vidéo, on place des cailloux l’un à côté de l’autre, obliquement, selon la direction de l’eau qui coule. Les traits de cailloux sont distants de dix (10) mètres les uns des autres.
Voici quelques exemples d’activités annexes que font les femmes de Monzona (Mali) pour compenser les mauvaises récoltes : – Fabrication des nattes – Fabrication des briques à banco pour les revendre – Fabrication des éponges – Fabrication des balais – Cueillette des pains de singe (fruits du baobab) – Coupe de bois de chauffage – Fabrication des chaises et de
Suite à la formation de plaidoyer à Kayes, le village a organisé une formation de deux (2) jeunes au niveau de la commune pour réparer les forages. A présent, nous n’avons plus besoin d’un réparateur extérieur.