Si la saison n’est pas bonne, les femmes de Monzona ont recours à des activités comme : faire des balais, éponges, brosses à dents traditionnelle et fruits de baobab pour vendre et subvenir à leurs besoins. L’éponge est obtenue à partir des branches de rônier que les femmes partent chercher en brousse. Ces activités permettent de compenser le manque de rentabilité
Voici comment le village de Monzona (Mali) lutte contre l’érosion des champs de culture. Comme vous voyez sur les photos et la vidéo, on place des cailloux l’un à côté de l’autre, obliquement, selon la direction de l’eau qui coule. Les traits de cailloux sont distants de dix (10) mètres les uns des autres.
Voici quelques exemples d’activités annexes que font les femmes de Monzona (Mali) pour compenser les mauvaises récoltes : – Fabrication des nattes – Fabrication des briques à banco pour les revendre – Fabrication des éponges – Fabrication des balais – Cueillette des pains de singe (fruits du baobab) – Coupe de bois de chauffage – Fabrication des chaises et de
Suite à la formation de plaidoyer à Kayes, le village a organisé une formation de deux (2) jeunes au niveau de la commune pour réparer les forages. A présent, nous n’avons plus besoin d’un réparateur extérieur.
Bonne nouvelle pour les agriculteurs ! Une nouvelle semence d’arachide a été découverte, elle est adaptée à la sécheresse et pousse plus rapidement. Une seule coquille contient 4 graines comme vous pouvez voir sur la photo. Son rendement double donc par rapport à celui de la première semence.
Malgré la mauvaise pluviométrie, les villageois ont pu obtenir un rendement correct, grâce à l’utilisation des engrais locaux. Avec l’engrais local, les semences supportent mieux la sécheresse qu’avec l’utilisation d’engrais chimiques.
Le village de Monzona va vous présenter un exemple du changement climatique que le village a connu, ainsi que la solution trouvée par ses habitants pour ralentir sa progression. Vous voyez ce marigot, aux environs des années 2000, il était vaste, profond et ne se tarissait jamais. Les deux bords étaient touffus d’arbres, on y trouvait toutes sortes de poissons
On voit ici l’un des champs de maïs de Monzona. On fertilise les sols des champs de maïs à l’aide d’engrais local composé de bouse de vache et d’autres animaux qui viennent passer la saison sèche dans nos champs, qui mesurent plus de cinq hectares, pour laisser leur bouse. Ce sont les animaux seuls qui peuvent fertiliser cette terre de
La fertilisation naturelle des sols par les déjections animales ou les déchets végétaux est assez largement pratiquée, mais différentes techniques peuvent exister, privilégiant par exemple le traitement de l’engrais utilisé ou bien l’économie de travail humain. La fertilisation naturelle des sols à Bougarila (Mali) Ils font arrêter les vaches en plein champ comme ça, quand elles vont déféquer sur place,