Le village de Monzona va vous présenter un exemple du changement climatique que le village a connu, ainsi que la solution trouvée par ses habitants pour ralentir sa progression. Vous voyez ce marigot, aux environs des années 2000, il était vaste, profond et ne se tarissait jamais. Les deux bords étaient touffus d’arbres, on y trouvait toutes sortes de poissons
Dans cette vidéo, on voit un père de famille agriculteur aider par son fils pour récolter l’arachide. Ils utilisent la force animale combinée à la force humaine. Ce travail a commencé dans la deuxième quinzaine du mois d’octobre pour profiter du sol humidifier par les brouillards matinaux. L’arachide déterrée est rassemblée en petits tas par les autres membres de la
C’est en fin octobre qu’on déterre l’arachide en regroupant les plantes déterrées en petits tas tout en les laissant séché sous le soleil. Au mois de novembre ces tas sont petits à petits regroupés en un très grand tas. Après ce travail on procède au battage du tas avec des battons puis à une séparation des graines et du foins.
C’est un jeune qui est parti pour récolter le fonio, là il est en train de faucher le fonio et de le déposer, les autres vont le prendre pour l’attacher. J’ai une autre vidéo aussi qui montre les jeunes qui sont en train de ramasser ce qu’ils ont coupé pour l’attacher.
On voit ici l’un des champs de maïs de Monzona. On fertilise les sols des champs de maïs à l’aide d’engrais local composé de bouse de vache et d’autres animaux qui viennent passer la saison sèche dans nos champs, qui mesurent plus de cinq hectares, pour laisser leur bouse. Ce sont les animaux seuls qui peuvent fertiliser cette terre de
A Bougarila, les villageois.e.s s’organisent collectivement pour compenser les effets du changement climatique et améliorer les résultats des récoltes. Tout d’abord, les villageois.e.s cultivent ensemble un des champ du village. Mais ils s’entraident également sur les parcelles privées, des travaux préparatoires aux récoltes ! Les jeunes du village préparent ensemble les terrains pour en faire un périmètre maraîcher. L’association des
« Défis et apports de la transhumance à Bouillagui (Mali) », par Waly Traoré ? (Novembre 2021) Le phénomène de la transhumance affecte Bouillagui, qui doit parfois trouver des solutions à ses effets négatifs, mais parvient à utiliser le potentiel fertilisant des animaux. Transhumance et déforestation Bouillagui est à la frontière de la Mauritanie, de ce fait à chaque saison de pluie,
A Banzana, les villageois.e.s constatent les effets néfastes de la baisse de pluviométrie sur les rendements et tentent de les compenser par le travail humain. Je suis Haby Sangaré, Banzana. Ici nous ne pratiquons que l’agriculture mais il n’y a pas de pluie. Nous fertilisons nous-mêmes manuellement nos champs , nous cultivons l’arachide pour subvenir à nos besoins mais la
Ces cultivateurs de Mandou moissonnent une variété de riz de courte durée, trois mois, à peu près comme le fonio, pour des raisons de changement climatique. Avec l’ancienne variété les pluies cessaient avant sa maturité ce qui engendrait des pertes énormes. Néanmoins avec cette dernière ils le moissonnent à temps.
Je suis Mamadi Keita. Ces panneaux solaires sont un ouf de soulagement pour nous car l’interdiction de couper le bois quelque soit sa taille dans la forêt avait créé des conflits dans le village. Les panneaux solaires ont drastiquement réduit l’utilisation du bois surtout pour l’éclairage des maisons. Aujourd’hui avec un panneau on a au moins la lumière dans la