Le partage de la viande Le jour de la fête de Tabaski à Bouillagui, on égorge 7 à 8 bœufs pour tout le village. Ce jour-là, c’est la fête totale au village : ces bœufs sont égorgés par le marabout de Bouillagui. Après l’égorgement, on partage la viande en tas égaux pour tous les habitants du village. De cette manière, tout
C’est un instrument de communication et d’information qui sert à véhiculer les nouvelles du village, les informations sur les feux de brousse, le vol des bétail ou les réunions publiques. EN SONINKE : ke dangue ni Bouyagui debe dangue niaa ke be dan nia debee nokho nga debgoumou na timi ke gueni kho goundou niinbe na feyee wala debgoumou meniee .
On place un demi fut coupé en deux sur du feu. L’huile rouge de palme est placée dedans jusqu’à ébullition, où elle devient claire. On met de la soude dans le fut et on mélange jusqu’à ce que devienne coagulé. On renverse le tout sur une table, les fabricants se protègent les mains avec des gants et ils font des
À Damaro, la fabrication traditionnelle du pain est collective. Les hommes les plus costauds se retrouvent pour pétrir la pâte qui est ensuite ramassée en boules, et qui sont allongées en forme des baguettes. Elles sont passées au four en banco, qui a été chauffée au feu de bois et vidé intégralement lorsque la température est assez élevée : il est