In Banzana, the villagers are noticing the negative effects of the drop in rainfall on yields and are trying to compensate for them with human labour. I am Haby Sangaré, Banzana. Here we only practice agriculture but there is no rain. We fertilise our fields by hand, we grow groundnuts to meet our needs, but the rain does not come,
Interview with Famakan Koné “Nowadays, there is no more rain, so our crops are lost. We love farming but if the harvest is not good because of the drought, it is discouraging. Rain is no longer enough, so we grow crops for our daily needs in order to survive the hard times, such as sweet potatoes, banankou, fruit trees and
Auparavant dans la société soninké dès la naissance de la fille on allait mettre un bout de fil au pied de la fille comme fiancée. Mais à Bouillagui, un village qui fait partie de cette sphère, c’était le cas contraire au temps passé. A Bouillagui c’est quand la fille atteint 10 ans ou 14 ans comme ça, elle peut être
Ces parures féminines en or sont appelées en soninké Demba Tourou. Elles sont fabriquées en or 18 cara, 21 cara ou 24 cara. Les femmes de Bouillagui les portent pendant les festivités telles que les mariages, baptêmes et circoncisions. Même les jeunes filles les portent. Leurs mères tentent de chercher de l’or pour leur fille dès le plus jeune âge
C’est un instrument de communication et d’information qui sert à véhiculer les nouvelles du village, les informations sur les feux de brousse, le vol des bétail ou les réunions publiques. EN SONINKE : ke dangue ni Bouyagui debe dangue niaa ke be dan nia debee nokho nga debgoumou na timi ke gueni kho goundou niinbe na feyee wala debgoumou meniee .
Cette coutume très ancienne est pratiquée dans nos sociétés africaines qui demande qu’un prix soit versé pour avoir le droit de prendre une épouse. C’est un procédé très formel qui comporte certaines règles et protocoles qu’il faut respecter. Toute négociation doit se faire obligatoirement par l’intermédiaire d‘un griot ou d’un notable du village, qui connaissent bien les familles du village
Ziraba, en Français grand baobab, de par son ancienneté, son histoire et sa grandeur. Son intérieur est accessible à partir de son tronc qui dispose d’une ouverture semblable à une porte d’entrée d’une caverne. Photo: Mamadou Sène Cissé Un lieu de croyance mystique Quand les premiers habitants sont venus pour la première fois s’installer et fonder le village après une
Le jardin maraîcher de Bouillagui a été créé en 2005 sur financement de la FAO, mais c’est le 20/3/2013 que les femmes du village en ont repris la totale gestion. Il est administré par un comité de gestion féminin. Seules les femmes du village peuvent cultiver sur ce périmètre. Elles y cultivent la salade, le chou, les patates, les oignons,
Les chasses collectives à Bouillagui sont organisées chaque deux mois, surtout pendant les mois de mars et d’avril. Les chasseurs du village sont informés une semaine avant de l’organisation de la chasse. Il y a en général un minimum de 20 participants par chasse. Pour participer à la chasse il faut être membre de l’association des chasseurs. Pour en
Dans la vidéo ci-dessous, Marietou Fofana est en train de préparer le coton à l’aide de l’outil qui s’appelle “kahala” en Soninke. En ce moment elle file. Quand elle termine, elle donne le coton qu’elle a filé au tisserand. Après le tissage, on teint dans le “gara” (teinture obtenu à partir de la cendre de baobab mélangé avec d’autres couleurs