Khadija et Mawa témoignent sur leur condition de travail dans les champs : « Il n’y a rien, la pauvreté est là. On ne peut pas survivre sans les cultures maraichères, mais à cause du manque d’eau, c’est très difficile. Si tu fais la culture maraichère, grâce au marché, tu peux ensuite aider ta famille. Quand j’ai creusé le puits, j’ai pu avoir de l’eau, je prends de l’eau là-bas, et j’arrose le champ. Souvent, je viens pour enlever la boue qui est dans la pluie, pour le réhabiliter régulièrement. Même si tu n’as pas la pluie, si tu as un puits comme ça dans ton champ, à tout moment tu peux cultiver. » 

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