Dans la culture bedik, si il y a iniation le mercredi, les filles vont aller chercher de l’eau. Avant ça se faisait sur la montagne, il y avait des points d’eau, mais maintenant avec le changement climatique, c’est difficile de trouver de l’eau à Ethiouar, elles sont obligées de descendre en bas pour chercher de l’eau, et venir faire les
Suite à la formation de plaidoyer à Kayes, le village a organisé une formation de deux (2) jeunes au niveau de la commune pour réparer les forages. A présent, nous n’avons plus besoin d’un réparateur extérieur.
En raison des pluies très fortes et abondantes dans notre région, nos puits ont subi d’énormes dégâts même les moules de certains puits ont été emportés par les eaux. Pour résoudre ce problème, les villageois amènent de grosses pierres pour colmater les fissures afin de mieux affronter la saison de pluie prochaine et de stopper ces dégâts.
Je m’appelle Mohamed Tounkara, citoyen de Bossoko. Les difficultés majeures auxquelles nous sommes confrontés à Bossoko ici sont les problèmes liés à l’eau. Nous n’avons pas suffisamment d’eau et l’endroit où nous puisons de l’eau est très distant. Par conséquent, nos terres cultivables ne sont plus fertiles comme avant, ce qui impactent négativement les rendements et nous demandons assistance à
Tenen Sangare explique qu’elle a deux types de difficultés dans le bas-fonds : les vaches et le manque d’eau. Les vaches sont libres dans cette saison sèche et viennent paître dans son champ. Le manque d’eau aussi : ils en souffrent énormément. S’il n’y a pas d’eau dans un bas fond, la production ne peut pas être bonne. Elle n’a pas les
“ Je ne sais si tu connais le lieu là, le lieu qu’on appelle Kuga. On y puisait de l’eau avant, mais actuellement elle manque. Les vieux qui vivaient ici disent que les gens y puisaient de l’eau, mais regardez aujourd’hui, il n’y a même pas d’eau. C’est étonnant. Même si on creuse, on ne trouve pas d’eau. – Qu’est-ce
“Je vis dans la région de Kayes, je m’appelle Djibril Sidibé, mon village s’appelle Banzana dans la commune de liberté Dembaya. Je suis jardinier, vous voyez mes Manguiers, la seule raison pour laquelle les arbres ne donnent plus assez de fruits, c’est le manque d’eau ! J’ai creusé un puits dans mon jardin mais je n’ai repris qu’en juin sinon
“Mon nom est Fatoumata, je viens de Banzana. Ce que j’avais dit concernant la pompe est valable pour le puits. Nos grands-parents allaient se ravitailler en eau dans le fleuve de Kamankolé à 5 km de Banzana, ils partaient à pied le matin et ne revenaient que l’après-midi, et cette eau ramenée servait alors à toutes les tâches ménagères. Il
Je m’appelle Assata Camara, citoyenne de Mandou. Nous sommes venus au marigot pour laver nos habits. Comme vous le constatez, c’est le manque d’eau qui nous a envoyé au marigot ici, même si l’eau est sale et rouge, nous sommes obligés de laver nos habits avec. Qu’est-ce qui a causé le manque d’eau ? C’est Dieu, la pluie se raréfie
Ce reportage traduit le quotidien des éleveurs de Wassadou. Ils rencontrent les mêmes difficultés d’accès à l’eau que les femmes de certains quartiers du petit village situés sur la route nationale dans la région de Tambacounda. Par : Adama Dansokho Ménages et difficultés d’accès à l’eau potable Wassadou, Sénégal, Février 2022 Les femmes rencontrent d’énormes difficultés pour accéder à l’eau