Nous sommes avec les laboureurs. L’hivernage de cette année est en retard. La pluie avait commencé et s’est arrêtée brusquement puis a repris encore. Nos premiers semis sont tous fanés, on est obligé de semer une seconde fois. Avec la pluie rien n’est garanti, il pleut normalement pour le moment et on espère que les eaux de pluie n’aient pas
C’est Ibrahima Camara qui se présente. Il déplore que les jeunes s’intéressent en ce moment davantage aux mines qu’à l’agriculture : il a un problème de main d’œuvre pour recruter des travailleurs, puisque tous s’engagent dans les mines actuellement. Le deuxième problème est le changement climatique qui perturbe son calendrier agricole, puisque la saison sèche est désormais plus longue que
Ceci est un jardin maraicher placé dans les rivières. Il pourrait être utile pendant des changements climatiques pour cultiver par exemple les tomates, les patates et les oignons. Pendant l’hivernage le travail est impossible. Ces jardins sont clôturés par des épines et il faut les surveiller depuis très tôt le matin pour empêcher les animaux de les gâcher et les
Mon nom c’est Tenenba Diarra, je suis malienne, de la région de Banzana. Au moment de l’hivernage, on amène ces déchets dans nos champs et on les dispose en tas. Quand la pluie les a arrosé à deux reprises, on disperse les tas dans tout le champ à l’aide de pelles et on cultive le champ. Pour préparer nos maraîchages,
Bonne nouvelle pour les agriculteurs ! Une nouvelle semence d’arachide a été découverte, elle est adaptée à la sécheresse et pousse plus rapidement. Une seule coquille contient 4 graines comme vous pouvez voir sur la photo. Son rendement double donc par rapport à celui de la première semence.
Nous allons vous expliquer comment nous cultivons le riz à Bouillagui. Vers le mois de juin, à l’approche de l’hivernage, avant la tombée de la première pluie, les femmes vont dans les champs de riz qui se trouvent dans les marigots. Elles sèment les grains de riz avant la tombée des pluies et elles prennent la houe pour le cultiver.
Malgré la mauvaise pluviométrie, les villageois ont pu obtenir un rendement correct, grâce à l’utilisation des engrais locaux. Avec l’engrais local, les semences supportent mieux la sécheresse qu’avec l’utilisation d’engrais chimiques.
Fanta koné a cultivé ce gombo dans son propre champ. Au début de l’hivernage, les résultats n’étaient pas bons mais elle ne s’est pas découragée. Elle a commencé par bien préparer son champ, puis elle l’a labouré à la moitié de l’hivernage. L’année dernière ellle a eu plus de 10 sacs de gombo mais cette année, elle n’en a eu
Je m’appelle Mohamed Tounkara, citoyen de Bossoko. Les difficultés majeures auxquelles nous sommes confrontés à Bossoko ici sont les problèmes liés à l’eau. Nous n’avons pas suffisamment d’eau et l’endroit où nous puisons de l’eau est très distant. Par conséquent, nos terres cultivables ne sont plus fertiles comme avant, ce qui impactent négativement les rendements et nous demandons assistance à
Au moment de la saison des pluies, on cultive l’arachide à Bouillagui. Sans engrais chimiques, l’arachide est cultivée dans le champ sablonneux. On laboure d’abord le champ à la charrue tirée par des bœufs, ce qui peut prendre de 2 à 3 jours et durant 1 à 2 semaines, les arachides sont plantées. Ensuite on commence le désherbage à l’aide