Nous sommes avec les laboureurs. L’hivernage de cette année est en retard. La pluie avait commencé et s’est arrêtée brusquement puis a repris encore. Nos premiers semis sont tous fanés, on est obligé de semer une seconde fois. Avec la pluie rien n’est garanti, il pleut normalement pour le moment et on espère que les eaux de pluie n’aient pas
Nous sommes les descendants de Fakoly, nos parents ont quitté vers Bougouni pour ici. Il y deux clans Sissoko : les Sissoko koromagan et les Sissoko Fakoly. Nous, nous sommes des forgerons. Nous sommes forgerons depuis nos ancêtres et nous fabriquons des houes, des couteaux, etc… D’autres forgerons fabriquent des bijoux, d’autres des pirogues, d’autres font des tresses. Le bois de
Paroles: Le champ est totalement labouré honte pour l’ennemi du paysan. Le champ est totalement labouré par les jeunes braves du village honte aux ennemis de village. Les champs sont labourés Ousmane Sidibé honte à ton ennemi. Le champ est totalement labouré honte à ton ennemi! Le champ est complètement labouré peul Djibril honte à ton ennemi! Le champ est
Mon nom c’est Tenenba Diarra, je suis malienne, de la région de Banzana. Au moment de l’hivernage, on amène ces déchets dans nos champs et on les dispose en tas. Quand la pluie les a arrosé à deux reprises, on disperse les tas dans tout le champ à l’aide de pelles et on cultive le champ. Pour préparer nos maraîchages,
Voici la récolte de sorgho et de petit mil de cette année. Après l’avoir rendue propre on le met dans le grenier et on rgarde une partie des graines pour la semence de l’année prochaine.
Fanta koné a cultivé ce gombo dans son propre champ. Au début de l’hivernage, les résultats n’étaient pas bons mais elle ne s’est pas découragée. Elle a commencé par bien préparer son champ, puis elle l’a labouré à la moitié de l’hivernage. L’année dernière ellle a eu plus de 10 sacs de gombo mais cette année, elle n’en a eu
Autrefois, il y avait abondance de pluies, cette rivière se remplissait d’eau et se stabilisait longtemps, on satisfaisait tous nos besoins avec cette eau, mais au cours des 10 dernières années la rivière ne retient plus l’eau. La rivière est sèche 8 mois sur 12 (de novembre à juin). Pour faire face à ce problème, on a creusé des puits
“Je vis dans la région de Kayes, je m’appelle Djibril Sidibé, mon village s’appelle Banzana dans la commune de liberté Dembaya. Je suis jardinier, vous voyez mes Manguiers, la seule raison pour laquelle les arbres ne donnent plus assez de fruits, c’est le manque d’eau ! J’ai creusé un puits dans mon jardin mais je n’ai repris qu’en juin sinon
“Mon nom est Fatoumata, je viens de Banzana. Ce que j’avais dit concernant la pompe est valable pour le puits. Nos grands-parents allaient se ravitailler en eau dans le fleuve de Kamankolé à 5 km de Banzana, ils partaient à pied le matin et ne revenaient que l’après-midi, et cette eau ramenée servait alors à toutes les tâches ménagères. Il
Je m’appelle Abdou Sidibé, Kayes Banzana. J’ai planté ces arbres car jeunes nous voyions des grands arbres, mais aujourd’hui il n’y en a plus. Nous manquons d’arbres et le manque d’arbres est lié au manque de pluies. J’ai estimé nécessaire de faire quelque chose et j’ai alors planté ces quelques arbres. Le début n’a certes pas été facile mais aujourd’hui