Si la saison n’est pas bonne, les femmes de Monzona ont recours à des activités comme : faire des balais, éponges, brosses à dents traditionnelle et fruits de baobab pour vendre et subvenir à leurs besoins. L’éponge est obtenue à partir des branches de rônier que les femmes partent chercher en brousse. Ces activités permettent de compenser le manque de rentabilité
Fatoumata Camara conte : Ntoly kélén né Kablan va massakè lémé Wélé ni massakègbèrè léna diana Wéléna a démousso dina a dougnô kè o ma Massakè na adémousso wélé lala djélimousso démbaty tè, kata di adougnèkè massakè oma Djélimousso wélé tani kognô koura malôdia Ana massakè ako yen mekèla, akafô dini gnè, ko ni akafô, ko alélé kognô koura lé,
Les femmes se divisent en deux groupes pour le désherbage des champs. Le groupe qui termine en premier s’arrête à l’autre bout du champ pour entonner cette chanson, en célébrant leur victoire sur l’autre groupe. Ô le lion, ô le lion du désherbage, Ce lion du désherbage est bien dans la brousse Si tu es lion comme nous,
Non seulement il y a une rareté de l’eau dans les marigots mais aussi le manque d’eau potable dans les villages. On se sert des mêmes marigots pour utiliser dans le ménage à la maison et à présent la pêche . On met des écorces de néré dans le marigot (c’est un poison pour récupérer les poissons), ce qui rend l’eau
Dans cette vidéo, on voit une femme Bedik qui fabrique des canaris. Elle nous explique qu’elle prend la terre en haut sur la montagne, que ce n’est pas n’importe quelle terre: c’est une terre qui a été achetée par leurs grands-parents au prix d’une vie. Maintenant, à chaque fois qu’elle creuse la terre pour fabriquer des canaris, ils doivent payer
Je m’appelle Assata Camara, citoyenne de Mandou. Nous sommes venus au marigot pour laver nos habits. Comme vous le constatez, c’est le manque d’eau qui nous a envoyé au marigot ici, même si l’eau est sale et rouge, nous sommes obligés de laver nos habits avec. Qu’est-ce qui a causé le manque d’eau ? C’est Dieu, la pluie se raréfie
La culture des oignons de contre-saison dans le jardin féminin à Bouillagui a été financée en partie par le projet Donkosira et ses partenaires depuis plus de 2 ans. L’association féminine qui cultive ce jardin comprend environ 80 à 90 femmes et filles. Dès le mois de juillet, elles commencent à préparer des pépinières d’oignons et au bout d’un mois,
« Pour nous, c’est ça qui peut nous aider, on va à Tamba pour vendre quelques marchandises et au retour on achète quelques produits maraîchers pour venir vendre ici, surtout pendant le ramadan. Cette année on a eu de la chance, ils n’ont pas fermé le marché, sinon c’était la galère. C’est cette activité qui nous permet d’aider nos maris
« La plupart des puits sont saisonniers du fait du changement climatique qui provoque le prolongement de la saison sèche. Les femmes, les filles, les garçons très tôt les matins, en file indienne, vont par ordre d’arrivée, à l’aide d’un puisage, remplir leur bidon avant que le soleil ne soit ardent et ne vide le puits. » Mariam Camara
Les femmes n’ont pas de répit dans le travail à Agnack. après les travaux des rizières elles s’adonnent aux activités maraichères pendant la saison sèche. Cette activité leur rapporte des revenues avec lesquels elles peuvent subvenir à leurs activités personnelles. GUJAHËR : Ëndikkam gudaŋ nuumlahë abukookë Añaax. ganfuri ahareen a tooloŋ gen doolë burukkë saboola, bamanteŋ ëngë honjën tu unhu humine