Khadija et Mawa témoignent sur leur condition de travail dans les champs : « Il n’y a rien, la pauvreté est là. On ne peut pas survivre sans les cultures maraichères, mais à cause du manque d’eau, c’est très difficile. Si tu fais la culture maraichère, grâce au marché, tu peux ensuite aider ta famille. Quand j’ai creusé le puits, j’ai pu
Cette photo, qui montre un âne tirer l’eau, montre clairement la profondeur du puits et illustre le problème du manque d’eau et surtout d’eau potable dans le village de Missirah Tabadiang. Le puits fait en effet plus de 35m. Pour la consommation personnelle, on puise directement l’eau, mais l’âne est nécessaire pour puiser l’eau destinée à abreuver le bétail.