Sur la photo, on voit un champ de mil, mais la culture de cette céréale est en train de disparaître à Bandafassi, à cause du manque de pluie. Auparavant, le mil était la source d’alimentation principale, et elle est aussi très importante culturellement. Elle est utilisée pour les fêtes : on en fait de la bière pour les cérémonies traditionnelles malinké
La femme que l’on voit sur la vidéo est un exemple de l’importance de la forêt pour la population, et de la relation entre les habitant.e.s de Wassadou et la nature. Ici, elle trie les feuilles de palmiers, dont elle va ensuite fabriquer des balais. Elle les fabrique pour les vendre, et obtenir un complément de revenus. Cependant, cette
Cette photo, qui montre un âne tirer l’eau, montre clairement la profondeur du puits et illustre le problème du manque d’eau et surtout d’eau potable dans le village de Missirah Tabadiang. Le puits fait en effet plus de 35m. Pour la consommation personnelle, on puise directement l’eau, mais l’âne est nécessaire pour puiser l’eau destinée à abreuver le bétail.
Dans la culture bedik, si il y a iniation le mercredi, les filles vont aller chercher de l’eau. Avant ça se faisait sur la montagne, il y avait des points d’eau, mais maintenant avec le changement climatique, c’est difficile de trouver de l’eau à Ethiouar, elles sont obligées de descendre en bas pour chercher de l’eau, et venir faire les
Du 9 au 12 Janvier 2023, un plaidoyer organisé dans le cadre du projet Watigueleya Kêlé atelier a eu lieu à Tambacounda (Sénégal). Cet atelier a réuni les délégués des trois villages sénégalais participant au projet (Bandafassi, Missirah Tabadiang, et Wassadou-Dépôt), encadrés par l’équipe Donkosira, et l’expert plaidoyer Illia Djadi. L’objectif de l’atelier était de renforcer les capacités des participants
Nous sommes à Iden Karfa, au quartier Ethiouar, à Bandafassi. Ce point d’eau servait d’eau à boire pour les populations de ce quartier, en l’occurence les populations bédik. Il y a dix ans de cela, l’eau restait ici jusqu’au mois de novembre-décembre. Aujourd’hui, on voit que fin octobre, début novembre, l’eau tarit. On pouvait avoir de l’eau jusqu’à janvier, et
“ Je ne sais si tu connais le lieu là, le lieu qu’on appelle Kuga. On y puisait de l’eau avant, mais actuellement elle manque. Les vieux qui vivaient ici disent que les gens y puisaient de l’eau, mais regardez aujourd’hui, il n’y a même pas d’eau. C’est étonnant. Même si on creuse, on ne trouve pas d’eau. – Qu’est-ce
La rareté des pluies fait que les bas-fonds ne se remplissent plus d’eau comme auparavant. Ce qui impact négativement la production de riz. Les femmes du village pour joindre les deux bouts se lancent dans des activités alternatives comme le ramassage des pierres. Elles se répartissent en groupes pour ramasser les pierres afin de les vendre aux camionneurs venant de
Ce reportage traduit le quotidien des éleveurs de Wassadou. Ils rencontrent les mêmes difficultés d’accès à l’eau que les femmes de certains quartiers du petit village situés sur la route nationale dans la région de Tambacounda. Par : Adama Dansokho Ménages et difficultés d’accès à l’eau potable Wassadou, Sénégal, Février 2022 Les femmes rencontrent d’énormes difficultés pour accéder à l’eau
Il a plu cette année mais pas comme les autres années. La pluie a commencé tôt mais il y a eu des ruptures donc il n’a pas plu de manière continue. Cela a découragé beaucoup d’agriculteurs . Après il y a eu le retour de la pluie mais s’était un peu tard. Pour ceux qui ont semé à cette période