Dans ce petit village situé sur la route nationale des femmes s’organisent en groupe pour récolter les différents champs de coton du village de Missirah Tabadiang. Elles sont rétribuées par nature, c’est-à-dire qu’on donne à ces femmes du coton comme paie, ou bien par une somme d’argent qui est versée dans la caisse du groupement qui a pratiqué le travail.
Dans cette vidéo, on voit un père de famille agriculteur aider par son fils pour récolter l’arachide. Ils utilisent la force animale combinée à la force humaine. Ce travail a commencé dans la deuxième quinzaine du mois d’octobre pour profiter du sol humidifier par les brouillards matinaux. L’arachide déterrée est rassemblée en petits tas par les autres membres de la
C’est un jeune qui est parti pour récolter le fonio, là il est en train de faucher le fonio et de le déposer, les autres vont le prendre pour l’attacher. J’ai une autre vidéo aussi qui montre les jeunes qui sont en train de ramasser ce qu’ils ont coupé pour l’attacher.
Fabrication de Canaries, une activité phare des femmes du village pour subvenir à certains de leurs besoins, une sorte de reconversion en période de morte saison. Séance d’explication de la fabrication de canaries par Hamanding Kante
Montages vidéos des points forts de l’atelier du programme Watigeuleya Kèlê à Bandafassi. Visite du village Ethiour à Bandafassi (Sénégal) Interventions sur l’atelier de Bandafassi (Sénégal) Restitution de l’atelier de Bandafassi (Sénégal)
Cher.e.s lecteur.ice.s, L’équipe du programme de recherche-action Watigueleya Kèlê est ravie de vous présenter les dernières activités menées pour la compréhension et la valorisation des stratégies locales de résilience face aux stress et catastrophes socio-écologiques au Mali, au Sénégal et en Guinée. Nous souhaiterions dédier cette newsletter à Lanciné Camara, membre villageois du programme malheureusement décédé récemment. Une activité centrale
Bonjour et bienvenue au village d’Ethiouar, où nous sommes aujourd’hui pour faire une présentation. Ethiouar est un village historique bedik, (Bedik de Bandafassi). Dans ce village, nous avons des constructions en terre battue, en argile et aussi en paille et en bambou. Et aussi, nous avons des constructions en abris provisoires. Nous avons des abris provisoires, comme vous pouvez le
« Pour nous, c’est ça qui peut nous aider, on va à Tamba pour vendre quelques marchandises et au retour on achète quelques produits maraîchers pour venir vendre ici, surtout pendant le ramadan. Cette année on a eu de la chance, ils n’ont pas fermé le marché, sinon c’était la galère. C’est cette activité qui nous permet d’aider nos maris
« Salamalaïkum, Mamadou Djikiné Missira Tabadjan, relais Donkosira. Ici c’est notre champs de coton, qui était là depuis la première pluie. Les cotonniers ne dépassent pas cette taille, c’est la limite à cause de l’infertilité du sol. Comme je viens de vous expliquer, avec ce genre de culture quand tu ne possèdes pas un sol fertile, sans utiliser des engrais, tu
Lors de mariages une des pratiques qui se perpétue, consiste à mettre en concurrence la jeune mariée et les sœurs du mari autour d’un puits. Le défit pour à relever pour les deux parties consiste à réussir à sortir la première une seau rempli d’eau d’un puits. Si la mariée réussie à sortir le seau la première, elle engendrerait beaucoup