Kalil Camara, cultivateur à Damaro, témoigne : « Ici le lieu s’appelle s’appelle « kônongroun », ce marigot est gâté, l’eau était très profonde, mais regarde, on peut même sauter là-dessus. Les poissons sont partis, tous les jeunes du village de Damaro-centre venaient se laver là, apprendre à nager, mais du fait de la chaleur, il s’est tari, les champs du riz cultivés le long de ce marigot ne poussent plus bien. »
Mariam Camara, déléguée de Damaro
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